Le sinistre Khouanji Imed Hammami déclasse l’hôpital universitaire de Sfax en simple dispensaire

Suite à la mutation hâtive et précipitée du Pr.Emna Zribi, chef de service de la pharmacie de l’Hôpital Habib Bourguiba de Sfax , le Ministre ( plutôt sinistre ) Khouanji porte un coup fatal au service de pharmacie du plus grand hôpital de la ville et de la région du sud. Avec cette décision unilatérale , le Imed Hammami a officiellement dégradé ce service dont la vocation était hospitalo-universitaire de soins, de formation, d’encadrement et de recherche scientifique en le transformant en un service d’un dispensaire qui se limite à exécuter des ordonnances médicales.
Le doyen de la faculté de pharmacie de Monastir, soutenu par son conseil scientifique, furieux contre cette décision sinistérielle unilatérale, n’a pas tardé à riposter énergiquement en supprimant ce service de la liste des hôpitaux formateurs et en annulant l’affectation des internes et résidents en pharmacie au CHU Habib Bourguiba de Sfax et ceci malgré le déficit déjà flagrant des centres formateurs agréés.
Le Imed Hammami considère que le plus grand hôpital de Sfax et de toute la région du sud ne doit ni assurer une formation de qualité à nos futurs pharmaciens ni garantir une bonne qualité de soins pharmaceutiques aux habitants de ces régions.
Pense-t-il que le remède « Miracle » : pisse de chameau , Baoul El Ba3ir  (بول البعير en arabe) , recommandée et utilisée par certains Khouanjis de sa secte pourrait se substituer aux vrais médicaments ?
Ose-t- il, sacrifier la santé des malades et la qualité de formation de nos hauts cadres pour sanctionner cet hôpital qui continue à porter le nom du leader Habib Bourguiba ?
Certainement, ce n’est ni la 1ère ni la dernière bourde que commet ce sinistre Khouanji . En effet nous avons appris qu’il vient de démettre de ses fonctions la directrice de l’inspection pharmaceutique après qu’elle ait présenté un rapport d’inspection incriminant un médecin généraliste khouanji impliqué dans une affaire de corruption et de trafic des médicaments. Cette directrice avait refusé d’appliquer les consignes du principal conseiller de ce sinistre ,Lotfi Larbi , lui aussi Khouanji qui lui avait demandé de modifier son rapport pour blanchir ce médecin trafiquant.
On se demande pourquoi le chef de gouvernement Youssef Chahed n’a pas réagi (ma chafech haja);  lui qui prétend lutter contre la corruption reste indiffèrent devant ces passes droits et contre la mauvaise gouvernance
Le Imed Hammami continue à détruire le secteur de la santé par incompétence et surtout dans une stratégie de la secte Khouanjiaà infiltrer les institutions nationales.
Il est certain que la patience du peuple Tunisien n’est pas illimité (yomhelou wa la youhmelou : en arabe).

K.A