Oumaïma Ayari, cette bimbo ratée

Cette animatrice qui s’appelle Oumaïma Ayari, surnommée « casse-croûte Ayari » par le réalisateur Mehdi Hmili car elle possède toutes les caractéristiques inhérentes à ce repas aussi léger qu’infect, représente ce qu’il y a de plus médiocre et jahalout dans ce pays.

En effet, elle est habitée par un conformisme intellectuel étroit et rigide. Dégoulinant de morale et débordant de bien-pensance, le discours de cette décérébrée est le plus souvent parsemé de poncifs et d’expressions qui ne sont pas sans nous rappeler les vieilles mémés analphabètes : « mouch mte3na » ; « mouch fi seberna » ; « mouch fi dina » ; « mouch fi âadetna w taqalydna »…

Cette bimbo ratée semble trouver un malin plaisir à étaler quotidiennement son ignorance à la radio et à s’adonner aux mièvreries dont la populace raffole. Le pire, c’est que les radios-poubelles lui confient toujours la rubrique « arts et culture » (fan w thaqafa), alors que ses émissions ne sont en réalité que des commérages de tatas cafeteuses. Bref, son ascension médiatique pue la promotion canapé.

Inutile de revenir sur les deux blaireaux qui apparaissent également sur cette vidéo, en l’occurrence Rafik Bouchnak et Hatem Belhaj, j’ai déjà eu le loisir d’exprimer tout le bien que j’en pense.

Beurk !

Pierrot LeFou