Leïla Haddad voit la paille dans l’œil de sa voisine et refuse de voir la poutre qui se trouve dans le sien

Leïla Haddad a traité Abir Moussi de fasciste. Elle semble oublier que s’il y a bien une famille politique qui s’est largement inspirée du fascisme italien et du nazisme allemand dans le monde arabe, c’est celle des nationalistes arabes. D’ailleurs, Safi Saïd, le type qui ne rate pas une occasion pour déverser tout son fiel sur les binationaux en les traitant de bâtards à longueur de temps et en toute impunité, le politicard égocentrique dont les interventions flirtent toujours avec les thèses racialistes et la haine de tout ce qui n’est pas arabo-musulman, le triste sire qui a osé insulter la mère d’un journaliste en direct à la radio, était le candidat du Mouvement du Peuple aux dernières élections présidentielles, l’organisation politique à laquelle Leïla Haddad appartient. Manifestement, Leïla Haddad voit la paille dans l’œil de sa voisine et refuse de voir la poutre qui se trouve dans le sien.

Pierrot LeFou