Ghannouchi, qui sent le sang, se fait inoculer le vaccin contre le kourina.

Un matin calme, silencieux. Un jour triste qui se lève sur un pays asservi, résigné où le nid à crabes de monplaisir semble avoir étendu ses tentacules sur tout. Sur les juges et maintenant sur les voix libres .
Un matin tristounet , plat. Sans assemblée, sans reformes, sans journalistes, sans rien, si ce n’est Ghannouchi qui se fait inoculer le vaccin contre le kourina.
Un jour triste sans Abir Moussi, la seule voix d’opposition à cette dictature pire que toutes les dictatures, celle des islamistes.
A tous ces opposants à la « dictature » de Ben Ali qui ont participé à faire taire A.M., buvez maintenant, seuls, jusqu’à la lie , la théocratie de Ghannouchi qui sent le sang, les mines, les explosifs, le nike7 et boul el ba3ir.
Le peuple lui préfère la dictature moins lâche de Abir Moussi.

L’agitateur