Chwayya tha9afa interdite aux islamistes : شوَيّة ثقافة ممنوعة عن الإسلاميين

La sonde Solar Orbiter, fruit d’une collaboration entre l’Agence spatiale européenne (ESA) et la Nasa, a été mise en orbite par une fusée Atlas V de la Nasa depuis le Kennedy Space Center, en Floride. La lancement a eu lieu lundi 10 février 2020 à 5h03, heure de Paris.
Premières images des pôles
Solar Orbiter pèse près de 1.800 kilos pour une longueur de 12 mètres. Elle approchera au plus près à 42 millions de kilomètres du soleil (pas loin de Zarmdine). Sa mission sera de réaliser des observations à haute résolution de notre étoile, d’étudier son atmosphère et d’effectuer des mesures sur les champs magnétiques et les particules qu’elle émet.
Solar Orbiter sera ainsi le premier engin à photographier les régions polaires du Soleil, importantes pour mieux appréhender l’origine du vent solaire et l’évolution des champs magnétiques internes. Les différentes manœuvres du satellite l’amèneront également à prendre les premières images de notre étoile depuis l’intérieur de l’orbite de Mercure. A ces distances, la vitesse de la sonde se rapprochera de la vitesse de rotation du Soleil : elle pourra rester en face de la même région solaire pendant des jours pour l’analyser. La sonde commencera ses observations scientifiques en novembre 2021 et devrait fonctionner au moins jusqu’en décembre 2026. A 42 millions de kilomètres du Soleil, Solar Orbiter affrontera des conditions dantesques : une température de 520°C (à peu près la même température qui a cloué KS au lit) et un rayonnement direct 13 fois plus puissant que celui qui frappe la Terre. Pour se protéger de la chaleur et des radiations, elle a été équipée d’un imposant bouclier de 3,1 sur 2,4 mètres, fabriqué par Thales Alenia Space. Il est composé de plusieurs couches de titane recouvertes par une matière noire obtenue à partir de poudre d’os carbonisés, un pigment que l’on retrouve dans les peintures rupestres de la grotte Chauvet. Derrière ce bouclier, demeurent 10 instruments scientifiques dont neuf sont de conceptions européennes (merde ils ont oublié tous les instruments fabriqués par les arabes) et un a été fourni par la Nasa. Sur les neuf instruments du vieux continent, les scientifiques français ont fabriqué le RPW (Radio and Plasma Waves) et collaboré à la construction de cinq autres via le CNES, le CNRS, le CEA et l’Observatoire de Paris. Quatre des dix instruments seront chargés d’analyser l’environnement immédiat de la sonde, c’est-à-dire d’effectuer des mesures in-situ, pour caractériser l’état du plasma et des vents solaires au niveau du satellite. Les six autres instruments analyseront la lumière émise par le Soleil, ils effectueront des mesures de télédétection. La spécificité de la mission Solar Orbiter réside ainsi dans l’association de ces deux types de mesures pour comprendre comment le Soleil contrôle le milieu magnétique interplanétaire, aussi appelé héliosphère, et impacte les planètes, en particulier la Terre.

Rabbi iwassalha 3la khir bjah ennabi el bachir !! Zaama elle réussira à nous dire s’il faut se réveiller du pieds droit ou gauche pour s’assurer le paradis?
Source : agences de presse.
!..AH..!

Ali Gannoun