Veni vidi vici . « je suis venue, j’ai vu, j’ai vaincu » semblait dire Abir Moussi tout à l’heure à Sfax .
Visite éclair en conquérante pour préparer sa marche qu’elle veut sismique pour rendre Sfax aux sfaxiens samedi prochain. Sans peur, fraîche et retapée après ses nuits blanches avec la police de la nahdha , toute en courage défiant tous les « Habib Amandes » l’exciseur des femmes, les « sadok poisson boudourou chourou », adepte du démembrement des manifestants min khilef et le Mohamed AFFES, piétineur des femmes. Elle conseillait même à ce dernier de revêtir deux sarouals s’il veut ne pas subir l’affront d’être obligé de traverser Sfax tout nu quand il s’avisera de venir perturber son show.
Bon, Selma Elloumi , fermez les yeux et allez dormir et laissez A.M. libérer pour vous votre ville natale. Ce rythme et ce combat avec les voyous de la politique n’est pas fait pour votre nature délicate et vos oreilles chastes .
L’agitateur