Une première mondiale en Tunisie.

Cela aurait dû être normalement une célébration démocratique comme c’est le cas dans tous les pays du monde, mais pas en Tunisie où aujourd’hui s’est réuni le premier Parlement de la nouvelle Constitution et toute la presse nationale et internationale ont été interdite lors de la séance inaugurale. Pourquoi ?

Connaissant le passif de l’incompétence et de la corruption parlementaire tunisienne à l’ARP, cela n’augure rien d’autres que la continuation de cette politique législative. Des députés sans expérience, sans formation en gouvernance législative, des outils, des programmes, et de la représentation politique, encore moins en économie, et voilà tous les ingrédients d’une législature manipulée, et à toutes sortes de dérives hors la loi constitutionnelle.

C’est un parlement légitime, élu par le peuple alors pourquoi recommencer à légiférer en cachette sans transparence, sans le peuple et le pouvoir exécutif ?

La transparence est inconnue dans ce pays, préférant les débats et les officines cachées de la corruption. Un pays pas du tout recommandable et infréquentable.

Magnifique publicité internationale.

Alain Polomack