« En 2050, deux capitales dans le monde risquent d’être emportées par les eaux, il s’agit de Dacca au Bangladesh et Tunis, Tunisie. » C’est un rapport de l’ONU qui avait tiré la sonnette d’alarme en 2009 lors d’un séminaire organisé à Abou Dhabi aux Emirats arabes unis portant sur « la diplomatie et l’eau » et la Tunisie y était présente .
Au Bangladesh, les responsables du pays avaient pris les choses au sérieux surtout que les changements climatiques continuent de sévir de plus belle et avaient procédé à des aménagements pour l’évacuation des eaux pluviales.
Chez nous, nenni, la sourde oreille, nous avons les marabouts chay lillah sidi Mehrez, sidi Ben Arous, sidi Belhassen Chadli, pas de panique. Mais quand on voit ce que 10 minutes de pluies diluviennes ont fait ce mardi 18 septembre 2018 des quartiers de la capitale Tunis les transformant en petite Venise, on doit dire ya sattar, certes que 2050 c’est dans 32 ans. Mais si dame nature changeait d’avis et avançait les échéances ????!!!
Ezzeddine Zayani