14 janvier 2011– 9 janvier 2018 : l’avenue Habib-Bourguiba grouille de monde. Le MI est pris à partie !
Une énorme différence entre les deux dates. Dans la 1ère , un vent de liberté soufflait. Des chants , une communion sans pareille et une immense fierté ! Des visages ouverts d’artistes , d’intellectuels , de praticiens , d’avocats , de journalistes , des hommes et des femmes venu(e)s exprimer un ras-le-bol généralisé !
Aujourd’hui , des jeunes désoeuvrés , manipulés , inconscients , sans culture patriotique , sans culture du tout , ânonnant des slogans vides , creux » libérez nos prisonniers » , » le peuple veut faire tomber le gouvernement » … Riant , se bousculant , des gueules de voyous qui s’amusent , celles que l’on voit dans les trains et les métros jouant les gros bras , les gros cons , les fainéants qui crient misère , mais rejetant tout boulot , se contentant de rapines et effrayant les bonnes gens. A qui profitent toutes ces agitations et tous ces remous ? Aux traîtres et aux opportunistes ! A tous ceux qui veulent mordre dans ce qui reste encore de debout , de viable dans ce malheureux pays , objet de toutes les convoitises ! Les charognards qui excitent cette jeunesse sans repère , sans autorité , sans ambition !
Une main de fer dans un gant d’acier , voilà ce qu’il nous faut , aujourd’hui ! Le gouvernement ne doit pas plier ! Zaqzouq ne reviendra jamais ! Les islamistes n’établiront jamais leur califat de merde et nos ennemis de tous bords ne triompheront jamais !
BCE et Jo , faites mentir cette citation du marquis de Grasse Tilly sur Louis XVI : » Il aurait su régner s’il avait su punir » !
Mounira Aouadi