Que c’est dur de remonter à la surface. A chaque point pour gravir une petite marche, à chaque coup droit raté qui vous fait descendre deux niveaux avant de s’accrocher pour ne pas retomber au fonds et reprendre le calvaire. Jusqu’au bout de la souffrance, jusqu’à l’usure pour enfin , dans un ultime tie-break filer vers la délivrance. En expurgeant dans un cri qui s’entendait sur tous les cieux de l’Allemagne, tout le stress qui lui paralysait depuis quelque temps le corps et la tête.
Tout n’est pas parfait encore pour Ons Jabeur . Aujourd’hui, c’est le déclic. Et Dieu sait combien ce declic, cette victoire peut être importante pour elle et pour nous aussi, les fans comme kes Onsceptiques congenitaux chroniques qui n’ont pas compris grand chose aux exigences de ce sport.
Croisons toujours les doigts et demandons à Allah qui ne nous ménage en rien depuis un an, d’épargner Ons .
L’ agitateur