Quel gâchis de ne pas pointer du doigt le mal suprême du pays : l’Islam politique !!

Au milieu de ce chaos, Abir Moussi continue son ascension inexorable. Son parti fait à lui seul un score plus que celui de la secte Nahda de Ghannouchi, de la coalition de Makhlouf et de Kalb tounes réunis. Ce n’est plus une vie politique bi polaire entre Ghannouchi et Abir Moussi , mais entre Abir Moussi et l’islam politique , auxquels on assimile maintenant la gauche, les démocrates, les défenseurs des droits de l’homme assimilés à l’échec et de plus en plus ressentis par les tunisiens comme des complices de l’islamo-fascisme.

Quel gâchis de ne pas faire des priorités dans le combat que mène la Tunisie et de ne pas pointer du doigt , le mal suprême : l’Islam politique, sous prétexte que c’est un combat de vieille garde parce que mené par A.M.
C’est peut être un combat d’arrière garde. N’empêche qu’il faut se résigner à avouer que c’est un combat rondement mené. Un combat féroce sur terrain, avec un discours convaincant et contre le mal suprême par qui tous les malheurs du pays sont arrivés. Le seul combat qui vaille pour le moment.

Fadhi Ch’ghol