L’adage tunisien, un peu grossier, dit » on ne fait pas de cuillères pour ramasser la merde » s’applique parfaitement à un minus chargé par ses maquereaux de s’attaquer à un pilier de la politique en Tunisie, l’indomptable, la lionne Abir Moussi
Mon problème c’est que je connais cet énergumène pour l’avoir eu comme étudiant à L’IHEC de Carthage quand j’assurais des cours de droit public. Il y a quelques années je l’avais supprimé de ma liste sur Facebook car j’avais constaté qu’il était un fidèle toutou du tartour. Les « ceperistes » me paraissent du genre prêt à tout ce que personnellement je déteste. Quand ce type était étudiant je voyais l’ambition démesurée qui le dévorait et qui allait l’acculer à manger à tous les rateliers. Il avait les prédispositions que le plus grand filou de Tunisie, l’arnaqueur spécialisé qui aurait du être traîné devant les tribunaux par un nombre important d’électeurs pour escroquerie électorale et détournement de la confiance des électeurs, a su exploité. Je n’étais pas surpris de voir l’insignifiant, l’arriviste qui a osé dire des grossièretés sur lillatou celle qui jouit d’une popularité sans égal, celle qui n’a pas vendu son âme au diable, celle qui a gardé et ne cesse de défendre ses principes immuables pour que la Tunisie vive, la dame qui force l’estime et le respect à l’échelle nationale et extérieure.
Mme Abir Moussi n’a pas besoin que je la défende, elle peut et elle a une capacité octroyée par Dieu pour faire taire les minus, les minables et les nabots de la politique. Abir Moussi est une déesse indétrônable surtout par les bandits, les malfaiteurs et les maquereaux des rassemblements canins.
Toute ma solidarité avec Madame Abir Moussi et je ne lui demande rien en contrepartie. Elle défend bec et ongles ma patrie la Tunisie et c’est déjà beaucoup pour une femme exceptionnelle.!!!
Ezzeddine Zayani