Le tri. L’heure du tri. La nécessité de trancher face à ce mal suprême , à cette gangrène de l’islamisme qui ronge le pays. Abir Moussi les y a poussé jusque dans leurs derniers retranchements :
1- Il y a cette vieille école de Najib Chebbi qui s’est jeté à l’eau ouvertement dans le bain du tawafok en se prononçant ouvertement contre l’action qualifiée « d’illégale » de Abir Moussi. Et là il tue dans l’œuf , le peu de AMEL , constitué à grands frais par la selma loumi « amel » pour le relancer.
2- Il y a ce Tayyar des Abbou qui se tait. Ce parti est coincé, écartelé entre le désir de condamner ce nid à crabe des frérots , la hantise d’offrir une fleur à Abir Moussi qu’il exècre et hait plus que tout , et l’envie de gouverner , même avec le diable Oussema ben Laden s’il le faut, qui n’est qu’une fezzaa pour la Abbou qui a toujours flirté avec les voyous d’el karama, même si parfois elle entre en bisbille avec eux.
3 – Il y a tout le reste des journalistes , des démocrates , des gauchistes, dépassés et surpris par les leçons de l’action très porteuse de A.M. à foncer contre les khoungias , qui exhibent cet éternel de reproche de son attitude envers l’héritage et le colibe, qui se fourvoient, hésitants, dans son action trop coup de poing pour eux, faite juste pour marquer des poings politiques et comme pour se rassurer en rajoutent pour dire que son action est un ratage total , baissant les bras, résignés, et semblant dire que « l’islam politique est indéboulonnable , ou du moins , espérer que ce soit pas A.M. qui l’élimine du pays.
La ligne de démarcation est claire . Abir Moussi n’a jamais cessé de la tracer et en rouge au milieu beau milieu de la rue kheireddine Bacha. On peut pas s’y tromper. Soit la rive droite des Kardhaoui , Ghannouchi et des Mekhlouf à droite, soit la rive gauche de Abir Moussi. Marcher sur la ligne du milieu c’est se faire renverser par les uns et par les autres.
L’agitateur