L’Ugtt, j’y reviens.
C’est la maisonnée de tous les tunisiens pour abriter les grandes constantes du pays. Pour abriter le combat des femmes, de toutes les femmes et de leurs acquis. C’est le seul recours des tunisiens pour veiller sur les fondamentaux des tunisiens.
S’inscrire dans une lutte partisane pour soutenir le combat de la femme Abbou, tout en excluant la Femme Abir Moussi, c’est ouvrir les portes grandes ouvertes à un débat stérile dans la maisonnée de tous qui refuse de faire y entrer le plus grand ennemi de la femme et ce n’est pas makhlouf, c’est Ghannouchi. Organiser un débat national en laissant y participer cet étranger Ghannouchi qui n’a rien à voir avec la maison Tunisie, c’est faire perdurer pendant 4 longues durées le loup dans la bergerie, c’est accepter de cohabiter avec le monstre, c’est dormir dans un lit où niche sous la couverture des scorpions venimeux.
Accepter par le gorille en garde de la maisonnée (l’Ugtt) d’y laisser le loup, pour les beaux yeux d’une seule Abbou, qui a toujours cautionné et joué , elle et son mari, avec cet intrus, c’est faillir à votre mission. L’intrus violeur et barbu des femmes, on ne discute pas avec, on le chasse à coup de pied dans le cul.
Fadhi Ch’ghol