L’égorgeur de l’église de Nice est un « enfant » tunisien de Ghannouchi

Un Tunisien ! Tout comme celui de 2016 qui a foncé sur une foule festive et sur la Promenade des Anglais à Nice. J’en ai terriblement honte ! Ce ne sont pas nos enfants.. Ce sont ceux du khewmji ghannouchien qui lui rappellent tant sa jeunesse de terroriste ! Ils ont égorgé nos Valeureux et nos bergers dans les monts , notre garde présidentielle dans leur bus qui a explosé , tiré sur nos touristes à Sousse et ceux du musée du Bardo. .. Peu importe le mode d’emploi…
Depuis l’invasion islamiste chez nous en 2011 et l’accueil triomphal du gourou machiavélique à l’aéroport après son exil doré à Londres et les tala3a el badrou 3alayna ( la lune nous a montré sa lumière ) , ce n’est que chaos et incertitudes. Où est donc la lumière ?
Notre lutte n’a jamais cessé depuis ! La rage dans le coeur et l’âme en peine !

Mounira Aouadi

Trois personnes ont été tuées , dont une égorgée , dans l’attentat commis contre une église de Nice, ce jeudi matin. L’assaillant a été «neutralisé» par la police. Selon des informations de Paris-Match, l’égorgeur est tunisien « enfant de Rached Ghannouchi »  récemment arrivé en France. Il est âgé de 21 ans , il s’appelle Ibrahim et il est arrivée en France il n’y a pas si longtemps

« L’assaillant de l’attentat de Nice est un tunisien arrivé il y a très peu de temps par Lampedusa. »

« Avec la crise sanitaire et sécuritaire, plus aucune entrée ne doit être tolérée ! »

« Suspendons toutes les procédures d’asile et la délivrance de visa depuis les pays à risque ! »  Eric Ciotti

Député, Conseiller Départemental des Alpes Maritimes
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Les faits

Un homme armé d’un couteau s’est attaqué, ce jeudi aux environs de 9 heures, aux personnes présentes dans l’église Notre-Dame de Nice, située en plein cœur de la ville. Il a tué trois personnes.

Des détonations ont été entendues sur place, mais les autorités ont tenu à rassurer : ces détonations «sont provoquées par le Raid, des services de déminage», qui veulent évacuer tout risque.

Les victimes

Un homme, le gardien de l’église, et une femme sont décédés au sein de l’église. Au moins une personne a été égorgée.

Une troisième personne, une femme sérieusement blessée, est décédée dans un bar proche du lieu de culte où elle s’était réfugiée après avoir été touchée.

L’assaillant

A priori blessé par balles à l’épaule, il a été «neutralisé» par la police à 9h10 et transporté à l’hôpital. Selon le maire de Nice Christian Estrosi, il «n’a cessé de répéter en boucle devant nous « Allah Akbar » alors qu’il était médicalisé».

On ignore pour l’instant son identité et s’il était connu des services de police et de renseignement. Selon des sources concordantes, ce serait un homme tunisien récemment arrivé en France, âgé de 21 ans.

L’enquête

Le parquet national antiterroriste a annoncé s’être saisi de l’enquête, ouverte en flagrance pour «assassinat et tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Elle a été confiée à la Direction centrale de la police judiciaire et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et à la Sous-direction anti-terroriste (SDAT).

Les réactions

Le Premier ministre Jean Castex, qui s’exprimait devant l’Assemblée nationale pour détailler les mesures du confinement, a quitté le Palais-Bourbon pour rejoindre Gérald Darmanin au ministère de l’Intérieur, où une cellule de crise a été ouverte. Le président Emmanuel Macron, qui s’est lui aussi rendu place Beauvau à 10h30, doit quitter Paris pour se rendre à Nice dans les heures qui viennent.

Le maire de Nice Christian Estrosi, qui s’est rapidement rendu sur place, a déclaré : «Trop c’est trop, il est temps maintenant que la France s’exonère des lois de la paix pour anéantir définitivement l’islamo-fascisme de notre territoire». Il a demandé à ce que «toutes les églises soient mises sous surveillance ou fermées, ainsi que tous les autres lieux de culte de la ville».

«Pour la première fois depuis l’occupation, la France n’est plus libre ! Notre pays est en guerre, nous sommes en guerre ! Pensées pour les victimes de ce nouvel attentat qui touche au cœur notre ville de Nice», a déclaré Eric Ciotti, député LR des Alpes Maritimes. «On ne peut pas se contenter de dénoncer le terrorisme. Le terrorisme c’est l’arme de l’idéologie islamiste, il faut à tout prix que nous prenions conscience que c’est une idéologie qui nous fait la guerre. Il faut les mettre hors d’état de nuire légalement, grâce à l’État de droit, grâce à une législation spécifique qui serait votée ici à l’Assemblée nationale, mais on n’a pas le sentiment que le gouvernement a pris conscience de cette situation», a complété Marine Le Pen, présidente du RN. «Attentat à la basilique de Nice : mes premières pensées vont aux victimes et à leurs proches touchées par cette horrible attaque. Les Niçoises et les Niçois, ainsi que son Maire, [Christian] Estrosi, peuvent compter sur le soutien de la Ville de Paris», a pour sa part tweeté Anne Hidalgo, la maire de Paris.