La sécurité d’Abir Moussi

En décidant de priver un député de la protection à lui accordée, sur une évaluation technique des risques d’attentats auxquels il a été reconnu exposé par des instances sécuritaires de l’Etat, le président de l’ARP, se rend coupable d’un grave détournement de pouvoir et ne doit en aucun cas être obéi en cela au nom du principe intangible de l’autonomie d’exécution. Ceci, en droit. Si tel est le cas concernant Abir Moussi, comme je viens de le lire sur facebook, cela ne peut avoir d’autre sens, c’est-à-dire d’autre but, que celui de rendre ces risques plus grands, ce qui est déjà un crime en soi.

Abdessalem Larif