A l’entendre, il est l’équivalent de « Toz 7ikma ». Il aligne des phrase incompréhensibles truffées de mots savants, tellement savants que lui même n’arrivent pas à comprendre. Avec son regard de pitbull affamé, il cherche à impressionner la galerie en débitant les principes foireux et les analyses à 4 sous du genre « ndakhlek mel bèbe, nkharjet mel khoukha ».
Ce chroniqué qui a mangé à tous les râteliers sans se rassasier garde de l’affection pour Marzougui mais ne se gène pas pour rendre quelques services à Rached Ghannouchi et s’offrir à Seifeddine Makhlouf. Il a les convictions politiques à géométrie variables et le « tlahmigue » comme composante principale de son intelligence!
Ce « mosran » lourd avec un ego surdimensionné est l’archétype de l’intellectuel bidon qui est plus fechfech que consistant.
Bouajila est le symbole de la mièvrerie et de l’imbécilité journalistique. Se taire est ce qu’il peut faire de mieux dans ce pays où la médiocrité est devenue une forme de noblesse!
Naan Bou el Kourouna!
!..AH..!
Ali Gannoun