J’ y reviens sur cette injustice, ce chaos , ce règlement de comptes dont est victime ce pauvre petit administrateur, ce ministre de l’environnement par accident.
Ce régime a de particulier qu’il vous élise un président de toutes les légitimités, un roi lion mais à qui on a taillé les ongles et arraché les canines. A côté, c’est une assemblée d’hyènes et de charognards qui l’entoure, le surveille, fait la loi.
Ce qui est tuant , c’est que ce président qui ne sait que rugir et péter, nomme plusieurs ministres et croit pouvoir faire la loi . L’assemblée des hyènes, la meute s’agite alors et commence sa chasse en choisissant les plus faibles. Leur première victime fut le ministre de la culture non voyant, désorienté, vite abattu et bouffé. Leur repérage se focalise ensuite sur Mustapha Laroui, un gentil garçon à la chair tendre, trop poli, trop éduqué qui ignorait, en bon soussien qui se respecte, tous les dangers de la jungle. de ce nid à crabes. Des hyènes barbues et des klebs tounes l’arrachent au président, le lynchent puis le jettent à des charognards de la justice pour l’achever et le jeter en taule. Sous le regard perdu, hagard et impuissant d’un Président qui va encore rugir dans un discours menaçant, avec des « Karoui » en retour qui fusent de la bouche de ce vieux CHACAL aux oreilles longues, ce oussama khelifi, qui monte au créneau pour demander un remaniement ministériel avant la fin de l’année pour les remplacer.
Prenez les korsi, les ministères, faites vos lois, volez, chipez, entretuez vous , réglez vos problèmes entre vous, bandes de vautours. Mais pas sur le dos d’innocents. Lâchez Mustapha aroui , bande de charognards fassidines. Rendez le à ses enfants .
Et vous mes potes et mes chers concitoyens, partagez et indignez vous .en masse . Wallahi madhloum .essayed., rien que parce qu’il porte les pots cassés de toute cette bande de mafieux qui veulent se constituer une virginité sur son dos , car ils auraient pu le virer mais tout en laissant en liberté dans l’attente de son procès .
« A la fin, nous nous souviendrons non pas des mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis » Martin luther King