
Ezzeddine Zayani
Hier, un événement important a eu lieu à Washington avec l’accueil chaleureux que le président américain Donald Trump a sciemment réservé à son hôte le président égyptien le général Abdelfattah Sissi.
Le message était clair, l’ère pro-islamiste dans la politique extérieure de l’ancien président Obama était bel et bien révolue. Ce fut une promesse électorale du nouveau président américain qui est tenue.
Par ailleurs l’administration Trump a annoncé il y a quelques jours que le sort du président syrien Bachar Al Assad concerne le peuple syrien.
Evidemment les médias tunisiens de pacotille ne se sont pas arrêtés à ces développements au niveau des nouvelles donnes de la politique internationale.
Certes le président Sissi n’a pas obtenu de dons ou de prêts américains, mais il rentre avec le gage de Washington qui lui ouvrira de nombreuses portes.
Quant au président syrien, sorti vainqueur de la lâche agression contre son pays, il pourra panser les plaies de son peuple et envisager la reconstruction d’une Syrie souveraine et civilisée, débarrassée des barbares daéshiens.