Des Algériens font la nique aux Tunisiens…ils peuvent se la foutre dans le derrière !

Depuis l’annonce du dépôt de 150 millions de dollars dans la Banque centrale de Tunisie à titre de garantie, les Algériens font la nique aux Tunisiens.

Mes relations avec les Algériens sont orageuses sur Facebook, elles sont régulièrement ponctuées de passes d’armes. Lors de chacune d’entre elles, les Algériens me sortent immanquablement les mêmes paroles outrageuses : « Sans nous, vous mourriez de faim. » Comme leur sens de la répartie n’est pas aussi affûté qu’une lame, comme ils sont très colériques et tout feu tout flammes, ils reçoivent une volée de bois vert et sont ainsi vite remis à leur place.

Les toutes sortes de commentaires méprisants et les discours hautains et pleins d’arrogance ne sont pas aussi minoritaires qu’on essaye de nous faire croire. Il faut se rendre à l’évidence : un peuple qui se laisse traiter ainsi n’a que ce qu’il mérite. Car, qu’on le veuille ou non, l’Etat tunisien mendie et les Algériens nous font la charité. La seule chose qui dévoile le caractère factice de la fraternité tuniso-algérienne, c’est l’argent.

Mais bon ! Il faut dire que le mépris provient d’un peuple qui ne produit rien depuis 1962 et qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour ressembler aux bédouins d’Arabie, un peuple composé d’excités qui se torturent, s’égorgent et se massacrent depuis l’indépendance et qui se mettent à tour de rôle le sexe et les couilles dans la bouche, un peuple qui a permis l’éclosion d’un régime militaire dont la principale politique a été jusqu’ici de prêcher les conneries islamiteuses et identitaires, les chimères socialisantes et la haine de l’ancien colon.

Aussi les dénigrements et propos insultants à notre encontre de la part de gens grossiers qui constituent l’antithèse du raffinement et de l’élégance nous font autant d’effet que la flotte sur les plumes d’un canard. Quant aux envolées lyriques qui célèbrent la « fraternité tuniso-algérienne »… Ils peuvent se les foutre dans le derrière !

1, 2, 3… Viva l’Algérie !

Pierrot LeFou