Accepter d’être ministre ou PDG d’une compagnie nationale comme Tunis Air, c’est un peu accepter d’être sous l’autorité d’un chef de gouvernement incohérent sans fil conducteur, otage des partis. C’est risquer de se faire maltraiter et humilier par un malotrus de député imam pour un genou dénudé ou de se voir enviée par une députée voilée. C’est s’exposer à une justice divisée, dans le chaos à la merci de n’importe quel juge qui fonctionnes aux directives avec un procès préfabriqué qui peut mener à une incarcération.
Se jeter dans cette cohue et ce désordre à ciel ouvert, vouloir jouer au réformateur dans ce concentré de pourriture, ne peut pas procéder d’une volonté d’aider le pays. C’est un peu mettre la main à la pâte pour faire perdurer tout un système foireux qui ruine le pays depuis 10 ans.
Désolé ! On n’aide pas son pays en faisant partie d’une voyoucratie doublée d’une théocratie islamo-fasciste. A moins que …
L’agitateur