Sidi Boujaafar, un joyau de la ville de Sousse doublement massacré

D’abord par ces hideux graffiti dans sa clôture avant qu’on lui colle les fatchatas de ces candidats aux élections de circonscription dont personne ne saisit encore l’évidence ou l’utilité pour la communauté

Ensuite par sa dénaturation de Mausolée en mosquée comme si on adhérait à cette campagne du temps de la défunte nahdha quand ses islamistes turbulents et en colère brulaient les zwiiis.

Drôle d’image que véhicule Sousse désormais aux yeux de ses visiteurs : Une ville sinistrée qui se paupérise et se dégrade. Un champ de ruines tout au long de son esplanade qui faisait sa fierté.

L’agitateur