Nizar Cha’ari a l’orifice merdeux qui évacue directement dans son crâne

Il est des malformations congénitales qui , lorsqu’elles se révèlent dans le cerveau d’un homme , en font une poubelle si crasse que même l’acide sulfurique ne saura désinfecter.
Pour en avoir la preuve vivante, je vous invite à entendre un type nommé Nizar Cha’ari qui s’exprime sur les ondes d’une radio à propos de la polygamie.
C’est seulement après l’avoir entendu que j’ai compris la nature de sa malformation , le pauvre a l’orifice merdeux qui évacue directement dans son crâne. Une anomalie assez rare en effet mais qui a été décelée récemment dans cette Tunisie de toutes les médiocrités chez des gens comme Bahri Jelassi , enterré avec son délire ou encore Adel Elmi , qui sévit encore sur nos plateaux télé.
Selon Nizar – notre penseur indécrottable – l’interdiction de la polygamie n’a pas empêché l’adultère et les mariages « Orfi » , et de s’interroger : « Est-ce que l’interdiction du cannabis a empêché les gens d’en consommer ?  » .
Pour réussir une telle prouesse , pour faire un parallèle entre l’interdiction de la polygamie et la consommation du cannabis, il faut réellement avoir les fesses sur les épaules ; cette trouvaille est une pépite, un bijou de bêtise et d’idiotie. Que vient faire le cannabis ( ezzattla) dans le sujet ?
Nizar assure aussi qu’il est pour le retour à la polygamie parce qu’il est  » contre l’hypocrisie sociale  » précise-t-il.
Dieu soit loué ! Ça va nous faire une belle jambe de savoir qu’une triple andouille comme ce Nizar de mes deux , est favorable à une pratique devenue minoritaire dans le monde depuis des siècles . Une pratique qui n’existe plus que dans certaines sociétés arabes moyenâgeuses , ou dans quelques tribus de la brousse africaine ,ou encore chez une secte protestante ultra minoritaire, recluse au fin fond de l’Amérique.
Appel enfin à tous les journalistes, Billahi !! Cessez de donner la parole à ces immondices anachroniques. Vous n’imaginez pas l’ampleur des crimes que vous commettez en divulguant l’ignorance et en banalisant la bassesse.

Ben Ahmed Sobhi