Un conservatisme social laid, un pouvoir judiciaire laid, un exécutif et législatif (meilleure constitution du monde, mon cul oui !) qui le sont encore plus, des abus de pouvoir, un despotisme à tous les niveaux du pouvoir. On promeut la nullité (nous sommes en-deçà de la médiocrité), on dénigre le moindre rayon d’intelligence, on frappe d’anathème tous les antis, les différents, ceux qui ne rentrent pas dans le moule, si ce n’est pas par la populace ignare, c’est par ces semi-cultivés, cette bande d’égocentriques, suffisants, nombrilistes !
A un moment donné il faudrait faire un choix, le sang ou la soumission, le radicalisme ou le rafistolage. Il y a une constance historique : le consensus est lâcheté, défaite, on ne compose pas avec le laid, aussi populaire soit-il. On n’a qu’une vie, on la vit pleinement ou pas, ni dieu ni maître ou bien on se range sous la doxa, la légende indiscutable et les «Qu’en dira-t-on » !
J’emmerde votre morale, elle est castratrice, elle bouffe tout potentiel et rend con !
Liberté pour Rania Amdouni
Sami Kouki
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Une grande envie d’insulter
Une grande envie d’insulter et de proférer des gros mots en face de ceux qui sont supposés diriger le pays.
La situation sociale est des plus catastrophique sans aucune lueur de sortie du tunnel.
L’enseignement est au plus bas.
La culture ne fait plus partie des soucis de l’Etat.
Quant à la santé publique c’est la galère avec un gouvernement incapable de prévoyance et de planification pour acquérir les vaccins susceptibles de maitriser le fléau d’une pandémie qui met les citoyens à genoux.
Et pour couronner le tout, la justice ne fait que persécuter les plus vulnérables; elle condamne pour atteinte à la pudeur, pour blasphème, pour un baiser volé ou pour ébriété sur la voie publique. Elle passe l’éponge pour les gros trafics, les grosses magouilles et la grande corruption.
Non, cela ne doit pas continuer, et tout citoyen honnête doit se révolter, le dire et le montrer par tous les moyens et en premier lieu par la rue. Et si nous en sommes incapables, nous devons accepter de devenir les nouveaux serfs de la nouvelle féodalité.
Houcine Bzainia
