J’aime Nermine Sfar et son audace face à ses endeuillés du slip

Le problème, ce sont ces journalistes merdeux qui s’érigent en faux pudiques. Ce sont les commentaires de ce peuple sur tout ce qu’elle dit, sur ses chansons, sur ses photos de plage. Des frustrés, des sinistrés du bulbe, Des voilées et des barbus . Des jaloux et des jeunots en chaleur tout en boutons au slip crasseux avec des restes de merde qui descendent du crane.

Des commentaires insultants. Un vrai défouloir d’imbéciles chroniques, de sexes en érections qui souffrent le martyr face à la femme et ses atours féminins qu’ils veulent cachés, hors de leurs vues, couverts de la tête aux pieds de chwaleks, étalées sur la plage comme des otaries suant, transpirant, se refusant à l’iode marine pour leur caresser les pores, s’accommodant de grains de sable infiltrés qui égratignent leur peau.

Pénible de voir qu’une telle masse de mes compatriotes, ne sont que des langues qui louvoient, des estomacs qui broient et des sexes aux abois.

J’aime Nermine Sfar et son audace face à ses endeuillés du slip.

L’agitateur