Les excuses publiques sont exigibles par la partie offensée, innombrable. Mais les obligations morales mises à la charge du défenseur des droits humains et constitutives de sa notoriété dans l’honneur sont telles qu’ayant perdu tout crédit en les enfreignant par une incompréhensible inadvertance, au préjudice d’une avocate séquestrée arbitrairement, il ne peut plus s’en acquitter à ce prix.
Abdessalem Larif