Tout à l’heure, sur les ondes de RadioMed, Abdessattar Messaoudi ( photo ci-haut ) a tiré à boulets rouges sur Najla Bouden. Il lui a reproché de ne pas avoir fait de déclaration après sa nomination par Kaïs Saïed au poste de Premier ministre/Chef du gouvernement.
Cet avocat-flic a toujours eu des accointances avec les services de renseignement tunisiens et s’est fait, ces dernières années, des ouilles en or grâce à l’argent en provenance des pays étrangers. Il ose, aujourd’hui, faire la fine bouche, faire la leçon à une dame digne de respect, probe, aux compétences reconnues et dotée de qualités morales élevées ; des qualités par lesquels elle a, par ailleurs, gagné l’estime profonde de tous ceux qui l’ont fréquentée.
Mais, comme on dit, la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe.
Pierrot LeFou