M’hadheb Remili un « artiste » qui ne peut cacher ses complexes de jabri

Pour d’aucuns, une carrière prometteuse s’annonçait pour M’hadheb Remili, mais ils ont été amenés à revoir leur position vis-à-vis de ce comédien à la suite du statut qu’il vient de publier sur les lieux de culte juifs ( lire ci-bas ). Comme un très grand nombre d’arabo-musulmans, ce pseudo-artiste, un peu trop aigri pour son âge et qui essaye de se faire passer pour quelqu’un qui a confiance en lui-même en prenant un air suffisant et docte – en réalité, il prend un air hautain pour cacher ses complexes de jabri -, est imprégné de la culture de la haine et de l’intolérance depuis sa conception. D’ailleurs, la haine qu’il voue à Abir Moussi m’a mis la puce à l’oreille lors d’un de ses passages à la télé.

Comme beaucoup de musulmans, il ne voit le monde qu’à travers son prisme socio-religieux et culturel et n’aborde la question palestinienne qu’à travers la néantisation du Juif. Conditionné par une culture ethnocentriste, il a probablement été élevé dans le rejet de l’Autre et le dénigrement des « yahoud hachekom » et se veut plus Palestinien que les Palestiniens eux-mêmes.

Le problème avec les gens qui estiment appartenir au camp du Bien, c’est qu’ils sont persuadés d’être dans leur bon droit en commettant de telles incartades. C’est qu’il vient de compromettre une carrière à l’international en jouant son plus mauvais rôle : celui du héros de pacotille. M’hadheb Remili voulait faire son intéressant en se faisant passer pour un défenseur acharné de la cause palestinienne et du monde arabo-musulman, il n’a fait que se ridiculiser et a donné de lui-même l’image d’un homme violent et intolérant, voire un peu fanatique sur les bords.

La plupart des acteurs sont cons et incultes. Ils devraient fuir les champs de mines et ne plus se hasarder à exprimer leur opinion sur les sujets brûlants du moment. Ils gagneraient à ne plus ouvrir la bouche en dehors des répliques rédigées spécialement pour eux par les scénaristes.

Pierrot LeFou