Ce qui s’est passé hier au parlement nous rend tous coupables. Ce qui s’est passé devant l’immeuble de la HAICA par le troupeau de Jaziri sans que la Force de Loi de l’Etat ne réagisse laisse un peuple à la merci de la terreur qui revient. Je lis ce matin quelqu’un qui reprend l’adage : ‘‘La meilleur vengeance sur un ignoble ennemi, c’est de ne pas lui ressembler.’’ Appelons ces ennemis, l’ ‘‘innommable’’.
Ces innommables donc ne méritent pas qu’on les nomme. Nommer est signe de reconnaissance humaine. Qualifions-les tout simplement des adjectifs qui leur siéront : ‘‘horribles, crapuleux, abominables, affreux, idiots, débiles, stupides, ridicules, ratés, médiocres, dégoûtants…’’ , mais cela suffit-il ?
Les amis virtuels se sont déchaînés. Ces crapules, hélas, ne semblent pas être touchées. Ils circulent, jouant aux grands imbéciles. Je parie que dans leurs jeunesses, ils étaient la risée de leurs semblables. Je sens aussi qu’ils ont été littéralement humiliés par des plus vils qu’eux. . ‘‘Les couilles, ils n’en ont pas’’, affirmerait l’amie Mounira Aouadi. Des gens pareils ont l’âme pourrie exposée sur le visage.
Si l’ETAT encaisse les vomis de ces minables, que feront les honorabaes facebookers que nous sommes?
Ti hayya barka, allons, allons, au suivant !
DIS-MOI, MON DIEU
Dis-moi, mon dieu, dis-moi
Sont-ils de toi ces visages et ces regards sournois ?
Réponds pour garantir ma foi
Vois-tu des corps humain ? Où est passée leur âme ?
Dis-moi, mon dieu, Dis-moi
Suis-je un peu trop vieux pour comprendre l’infâme
Qui emprunte ta voix?
Abdennebi Ben Beya
Illustration : l’innommable Jaziri refoulé du Canada pour son appartenance terroriste