« Le Ministre des Finances Ridha Chelghoum se trouve actuellement à New York pour essayer de convaincre des financeurs de prêter à la Tunisie 500 millions de dollars afin de rembourser une échéance de dette prévue pour le 16 juillet prochain, l’opération est très délicate et sensible, et aucun média n’a relevé la moindre importance de cette info pour en parler et expliquer aux tunisiens ce qui se passe dans leur pays?!! » : Moez Joudi
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Il semblerait que notre ministre des Finances diablement moustachu se démène comme un fou pour obtenir des prêts deci-delà. Serait-il aux USA pour y négocier un prêt de 500 millions de leurs dollars comme du temps du calife is no good en 2012 , » prêt destiné à faciliter l’accès au marché du Nouvel État démocratique en place dans le but de soutenir la croissance de l’emploi et la transition politique » ? Les fils de putes ! Ils ont tout raflé en une année ? Et la fondation pour les crédits à la reconstruction de la mère Merkel qui pose des conditions pour un prêt de 100 millions d’euros : hausse du tarif de l’eau ! Bientôt , ils nous feront payer l’air que nous respirons. Il est vicié de toute façon ! Et la mer ! Polluée ! Et la terre ! Vendue !
Du temps de grand-ma , quand il y avait crise , elle remettait tous ses bijoux à grand-pa pour les vendre ou pour obtenir un prêt sur gage. Les bijoux étaient la seule garantie en vue de coups durs !
N’ayant plus rien à vendre , comment vont-ils s’en sortir , nos assoiffés de pouvoir ? La soif du pouvoir créé , en effet , un état de dépendance ! Quelle drogue vont-ils pouvoir s’injecter ? Nous l’injecter ?
Et cette pluviométrie très forte enregistrée cette année , ya shamir bettaieb ? C’est cela l’économie de centaines de millions ( 200 ) grâce à » la récolte céréalière record de la saison 2019 ( qui ) nous rapproche de l’autosuffisance » et nous assure » la sécurité alimentaire » ? Pourquoi donc cette exigence allemande ?
Et laadhariouglu du développement , de l’investissement , de la coopération et du déficit commercial qui jubile… Et moi qui bouillonne ! Par habitude !
Mounira Aouadi