Ghannouhi est une dangereuse tromperie ! Réagissons!

Ennahdha corporation: services parallèles, police parallèle, militaire parallèle, commerce parallèle et banditisme politique. Ce parti a des comptes à rendre et il faut qu’il se mette à table. Les dernière révélations confirment que la Nahdha est une association trouble qui œuvre pour la prise du pouvoir et pour esclavager le peuple. Pour arriver à ses fins, elle utilise tout l’arsenal des malfaiteurs et des bandits: espionnage, corruption, argent sale, agents troubles, intelligence avec des services étrangers, menaces, manœuvres religieuses, lavage de cerveau etc..

Ennahda ne fait pas de politique ,elle l’utilise pour couvrir ses magouilles et prendre possession des mécanismes de l’État. C’est une machine à broyer le progrès et à séquestrer la liberté. Elle ne s’est jamais inscrite dans la logique démocratique et s’est contentée d’une attitude hypocrite pour bien s’ancrer dans la société. « Dieu » est son atout pour acheter les âmes et emprisonner le désir de s’émanciper des citoyens. Elle exploite la pauvreté et répand l’ignorance pour s’installer en « libérateur » et en « sauveteur ». Les pratiques nahdhaouis sont celles d’une secte malfaisante . Elles peuvent aller jusqu’à l’élimination physique de ses détracteurs.

Ce parti ne s’est jamais installé dans la République et tout porte à croire qu’il est l’ennemi numéro un de cette la République et de toutes les pratiques démocratiques. Ses services parallèles sont la concrétisation et la preuve irréfutable d’une opération qui vise à s’accaparer du pouvoir par la force et la ruse.

Ennahdha a des dirigeants riches jusqu’à la moelle épinière. Cette richesse est illégale et rapide. Ghannouchi, avec sa retraite de professeur du secondaire qui n’a travaillé que quelques années , est la 4ème fortune de la Tunisie. C’est une tromperie et une tricherie monumentales. Ceci montre l’ampleur de la circulation de l’argent sale entre les membres du parti.

La Tunisie est en danger de mort certaine par la faute d’une gouvernance passive voire complice. La société civile, devant l’absence totale de réaction du pouvoir public et des partis au pouvoir comme ceux de l’opposition face aux dernières révélations, doit réagir pour que cette secte rende des comptes à la nation. Il n’y a pas de place pour deux services (sécuritaires) dans un état démocratique.
Trop c’est trop! Réagissons!

Hanen B Salah