Le ministre khouanji de la santé charge un nullard de sa secte du secteur clé des médicaments

Le principe de la secte islamiste Ennahdha est de placer, ses adeptes aussi incompétents qu’ils soient dans des postes clés et vitaux, au niveau du ministère de la santé et tous les départements de l’Etat (attamakken min mafassel eddawla).

C’est ce qu’applique fidèlement le sinistre Khouanji de la santé le imed hammami depuis sa nomination à la tête du département de la santé à l’instar de son prédécesseur nahdaoui le abdellatif mekki .
C’est ainsi qu’un khouanji raté « lotfi el Arbi », médiocre et minuscule médecin généraliste, nommé précédemment par l’ex ministre khouanji « abdellatif mekki » son premier conseiller chargé du secteur du médicament, un domaine qu’il ignore totalement,  vient d’être propulsé par l’actuel ministre au poste , tenez-vous bien , d’inspecteur central au ministère de la santé. Faut-il rappeler que le lotfi Arbi a passé une période d’hibernation dans le sous sol du ministère de la santé après le départ de Mekki ?.
Vous comprenez ainsi que la dégradation du secteur de la santé, n’est pas un pur hasard, mais plutôt un résultat prévisible et attendu de la stratégie de la secte Ennahdha qui vise à étrangler le secteur menaçant ainsi la survie du citoyen.
Pour étouffer d’avantage le secteur du médicament, le sinistre Hammami a nommé ce nullard lotfil arbi parmi ces proches conseillers et président d’une nouvelle commission sur les médicaments alors que ce dernier n’a aucune connaissance de ce secteur ni de ses mécanismes managériales depuis la production du médicament jusqu’à sa mise à disposition du patient en passant par les différentes chaines de distribution.
Cette commission a été créée pour enterrer le prestigieux « Observatoire des médicaments », qui avait fait preuve d’efficacité depuis des dizaines d’années, vu qu’il regroupait les principaux acteurs du médicament, fabricants, grossistes répartiteurs, pharmaciens hospitaliers et officinaux en plus de la Direction de la pharmacie et des médicaments, de la Pharmacie centrale de Tunisie ( PCT ) et d’autres membres actifs hautement compétents. Cet observateur avait toujours réussi à maîtriser la disponibilité du médicament et son accessibilité au citoyen où qu’il soit sur tout le territoire tunisien y compris pendant les périodes de crise comme lors de la révolte du 17 décembre 14 janvier 2011. Cet observatoire avait largement contribué à sécuriser la santé du citoyen Tunisien en prenant les mesures adéquates pour anticiper tout risque de pénurie du médicament. C’était avant que les membres de cette secte ne le marginalisent.
Le drame est que ni les parties politiques , ni les différents gouvernements qui se sont succédés depuis le 14 janvier 2011 n’ont riposté à la stratégie insidieuse et calomnieuse de la secte islamiste ennahdha. Nous rappelons que le gouvernement de Mahdi Jomâa avait eu pour mission de réviser les nominations aberrantes de l’ère de la troïka, mais rien n’a été réalisé, plutôt la situation s’est empirée.
Cette secte qui a réussi à gangrèner l’administration tunisienne, qui a infecté le tissu associatif en implantant ses associations intégristes sous une casquette humanitaire, qui a phagocyté l’Union Tunisienne de l’Agriculture et de la Pêche, n’a heureusement, jamais réussi à infiltrer l’UGTT, malgré ses maintes tentatives.
La secte ennahdha, ne cesse de rassurer ses adeptes qu’elle gagne du terrain en prétendant que « le peuple aboie et Ennahdha avance ».
De notre côté nous sommes rassurés de la vigilance du peuple tunisien, de sa société civile et du haut degré de patriotisme de l’UGTT.

A.A