طَلْقُوا لكن ما قَْسْمُوشْ

mohsen-marzouk-beji caid EssebsiPetite équation où les inconnus sont bien connus mais ils refusent de le reconnaître!
Dans le le contexte politique mondial actuel qui est en sa défaveur, Rached Ghannouchi a peur pour ses fesses et cherche protection chez nos voisins proche. Il fait de la lèche à Bouteflika pour ne pas l’abandonner et soutient Abdelkerim de la Libye pour se protéger des autres voisins de la Tunisie. Sa diplomatie parallèle est strictement dictée par la peur de ne plus peser sur la politique tunisienne et de se trouver un jour sur le banc des accusés pour répondre à tous ses dépassements voire crimes. Nida Tounes, embourbé dans ses conflits internes, ne peut proposer un dirigeant de valeur sure pour faire le contre poids à Ghannouchi et BCE ne peut lui même monter en première ligne pour des raisons de statut et de santé. Il faudrait donc inventer (trouver) un parallèle à Ghannouchi qui soit suffisamment loin et suffisamment près du Nida. Mohsen Marzouk est la bonne personne pour s’acquitter de cette tache. Bien que divorcé du Nida, il reste très proche de BCE (tal9ou mais ma9asmouch). En rencontrant Haftar, il rend service à Béji et il rend service à ses propres troupes et « idarrah khléye9«  Ennahdha.
Actuellement, le score de ce match politico-existentiel est de un partout et la balle est au centre. Bajbouj, ne pouvant faire autrement, joue le marionnettiste en vieux renard ravagé par son âge et la « bhama » des siens!
Tous les autres communiqués d’approbation ou de désapprobation ne sont que du « tgarbit » (rubans) pour bien nous fourguer un emballage où il n y a que du « twarri, nwarri« !
Bon appétit!
!..AH..!

Ali Gannoun