Le mec était à deux doigts de revendiquer son statut de « dhimmi »

D’habitude, les juifs qui passent à la télé s’appellent Raymond Aron, Jean Daniel, Vladimir Jankélévitch, Jacques Attali, Daniel Cohn-Bendit, Bernard-Henri Levy, Alain Finkielkraut, Eric Zemmour… Grâce à au mouvement islamiste Ennahdha, j’ai pu, pour la première fois de ma vie, voir un juif à l’esprit limité, pour ne pas dire à moitié débile, parler de politique à la télé.

Ça ne le dérange nullement qu’un article de la constitution, en l’occurrence l’article 74., prive les Tunisiens de confession juive de la fonction suprême car ils n’ont pas la bonne religion : « L’Etat tunisien est un Etat islamique » a-t-il rétorqué non sans aplomb. Incroyable ! Qui l’eût cru ?

Un nostalgique de la Staka ! Le mec était à deux doigts de revendiquer son statut de dhimmi. Déjà qu’on a du mal à juguler la bêtise islamiteuse, il nous faut à présent lutter sur deux fronts. Nos barbus ont réussi un coup de maître en désignant, pour les élections municipales, Simon Slama tête de liste à Monastir.

Simon Slama ou comment engager un benêt qui n’a aucune chance de se faire élire pour redorer son blason à l’échelle internationale et conforter les attributs de l’islam politique. Sacrés Barbus !

Pierrot Lefou