Le boujalgha chancelle, il suffit de le pousser un tout petit peu pour le faire tomber

Désacraliser le boujalgha, c’est réaliser 80 % du travail de destitution . Abir Moussi l’a fait et très bien fait, seule. Maintenant qu’il chancelle, titube, il suffit de le pousser un tout petit peu pour le faire tomber . Ironie du sort, ce petit coup de balai exige 143 paires de couilles solides. Apparemment, depuis quelques jours , les couilles molles commencent à se solidifier et même tinter comme les grelots d’une charolaise . Il en reste quelques unes à congeler et le tour est joué.

Fadhi Ch’ghol