La haine irrigue le corps de Seifeddine Makhlouf jusqu’au moindre pore de sa peau

Tout porte à croire que Seifeddine Makhlouf ne participe à ces élections que pour déverser son fiel sur la France. Si les Tunisiens n’avaient pas calqué leur modèle d’enseignement sur celui de la France après l’indépendance, ce triste sire ne serait pas devenu avocat et candidat à la magistrature suprême. Sans l’instruction obligatoire et l’enseignement public hérités de la France, maître Makhlouf serait en train de tirer des pis de chèvres vers le bas, il ne serait pas en train de cracher son venin sur la France, il ne serait pas en train de laisser, sous les feux des projecteurs et devant des millions de téléspectateurs, la haine irriguer son corps jusqu’au moindre pore de sa peau basanée.

En réalité, en s’attaquant à la France, ce sont les Tunisiens francophones et francophiles qu’il cherche à atteindre. Ces derniers sont à l’origine des complexes qui rongent les gueux de son genre. Des personnes comme Seïfeddine Makhlouf sont habitées par la rancœur et le ressentiment, elles savent que, même avoir produit une série de miracles, elles seront toujours l’objet du plus grand mépris de la part d’une certaine frange de la population, de la part des « orphelins de la France » en l’occurrence. Ce plouc haineux vomi par les égouts de l’exode rural n’aurait jamais dû sortir du néant, état qui lui sied le mieux soit dit en passant, et doit y retourner le plus rapidement possible.

Pierrot LeFou