Biographie express de Seïfeddine Makhlouf

Au milieu des années 1970, la maman de Seïfeddine Makhlouf aurait dû recourir à la contraception. Malheureusement pour elle, et a fortiori pour nous, à cette époque-là, la contraception n’était pas encore entrée dans les mœurs de certains tunisiens, notamment dans celles des pedzouilles vomis par les égouts de l’exode rurale. Et le pire se produisit en 1975 !

En effet, à défaut de contraception, madame Makhlouf est tombée enceinte involontairement en 1975 et s’est trouvée par la suite contrainte d’interrompre sa grossesse en expédiant son embryon dans les chiottes d’un café sordide du centre-ville de Tunis.

L’embryon a survécu jusqu’au neuvième mois en se nourrissant d’excréments, de crachats et de matières vomies. Ce qui explique la couleur de peau khraoui, à reflets verts et violets, de Maître Makhlouf et la quantité phénoménale de merde qu’il vomit sur Facebook et à chacune de ses apparitions médiatiques.

Pierrot LeFou