Je chie, tu chies, nous chions.

Abdennabi Ben Baya

Abdennabi Ben Baya

Humeur de mon Lundi

LIFTING

Je ne sais pas pourquoi les 2 partis politiques, grands par les voix électorales, me font penser au ‘lifting’. Leurs leaders on du mal à paraître contemporains. Ce qui les trahit, c’est le lapsus de leurs rides fantômatiques. Pour nous convaincre, il nous faut le ‘spectre’ de Bourguiba. Quel paradoxe, diriez-vous! Eh, oui, il reste jeune !

Détection de chute

On a détecté la chute d’une journaliste lorsqu’elle a invité sur son plateau un « Rach »  sanguinaire en la personne de Ali Lârayidh, l’a reçu avec tous les honneurs, et l’a interviewé pendant plus d’une heure presqu’avec la courbette. Meryam Belkadhi est-elle devenue sadique ? La star ‘intello’ des médias est-elle tombée dans le piège ? On garde encore les traces cauchemardesques provoquées par ce dénommé ‘Le large’. Le peuple n’est pas encore remis du traumatisme de son double passage au sein du gouvernement. Pitié, Meryem, et co.!

Les 14 ‘pourritures’

14 avocats (pourris gratis ?’) pour défendre le terroriste qui a égorgé le commandant Riadh barrouti. Les islamistes ont beau porter l’habit du saint, on distingue aisément à travers l’usure, l’obscène pourriture, leur obsession du sang et des seins . Abasourdi, castré, le peuple fait de la résistance sur la toile.
NOTE : une institutrice est violée par 5 voyous. Personne n’en parle. Un islamiste a dit texto : ‘‘bien fait pour elle et pour son décollété. Aurais-je été présent, j’aurais participé.’’

DE LA PISSE et du CRACHAT

Je chie, tu chies, nous chions. Les terroristes chient dans les grottes des monts.
Ils descendent en ville de temps en temps. L’un d’eux vient d’égorger un commandant.
Je pisse, tu pisses, nous pissons. Les islamistes pissent sur ma nation.
Tu craches, nous crachons. Je crache sur mon gouvernement.

Abdennebi Ben Beya