N’en déplaise à Noureddine Bhiri, la langue française est une composante essentielle d’un très grand nombre de Tunisiens. L’arabité et l’islamité sont deux paramètres qui ne correspondent en rien aux valeurs et convictions de bon nombre de Tunisiens. Ces derniers sont aussi Tunisiens que Si Noureddine et son frangin pédophile et n’accepteront jamais d’être relégués au rang de citoyens de seconde zone. Décidément, l’art. 1 et l’art. 39 de la constitution nous pourriront la vie jusqu’au dernier soupir !
Je les voyais venir , les islamistes . Maintenant, les francophones de ce pays doivent arrêter de se complaire dans le rôle d’idiots utiles et défendre la langue française de la manière la plus vigoureuse.
Pierrot LeFou